Crise de la dette vs crise écologique
Posté : jeu. 8 déc. 2011 20:57
On nous bourre bien le millefeuille avec "leur" crise de la dette ...
Du coup, les médias omniscients oublient (sic) de parler d'une autre conférence toute aussi importante que celles des dirigeants européens qui se réunissent toutes les semaines.
Cette conférence se tient depuis le 28 novembre à Durban, en Afrique du Sud.
C'est la conférence de Durban : l'avenir de la planète en jeu (c'est le titre).
"Alors qu'elle se déroule pour la première fois en Afrique, premier continent touché par le réchauffement climatique, la conférence sur le climat de Durban permet de réinscrire la transition énergétique au cœur de l'agenda politique
international : c'est donc une opportunité à ne pas manquer.
Il nous faut pérenniser le protocole de Kyoto, le seul traité environnemental contraignant expire en 2012 : les pays industrialisés doivent absolument maintenir et renouveler leurs engagements !
Il est également impératif de développer la solidarité Nord/Sud.
Alors que le problème de l'accès à l'énergie se pose pour eux plus que jamais, les pays du Sud, en particulier africains, ne doivent pas être les laissés pour compte de la négociation.
Sur place, le rôle de la Fondation est important : reconnue par l'ONU comme ONG observatrice, l'un de nos experts, Benoît Faraco, sera présent à Durban pour porter nos propositions et interpeller les décideurs, français et européens à s'engager à :
• Réduire leurs émissions de gaz à effet de serre de 30%
• Mettre en place de politiques de transition énergétique : isolation des logements, développement des énergies renouvelables et l'éco-mobilité, soutien à une agriculture plus respectueuse de l'environnement, lutte contre la déforestation, protection de la biodiversité, …
• Développer des financements innovants, en taxant les transactions financières internationales et le fret maritime par exemple.
Les enjeux de cette conférence et notre rôle sont donc primordiaux."
Tiré de la Fondation Nicolas Hulot.
Du coup, les médias omniscients oublient (sic) de parler d'une autre conférence toute aussi importante que celles des dirigeants européens qui se réunissent toutes les semaines.
Cette conférence se tient depuis le 28 novembre à Durban, en Afrique du Sud.
C'est la conférence de Durban : l'avenir de la planète en jeu (c'est le titre).
"Alors qu'elle se déroule pour la première fois en Afrique, premier continent touché par le réchauffement climatique, la conférence sur le climat de Durban permet de réinscrire la transition énergétique au cœur de l'agenda politique
international : c'est donc une opportunité à ne pas manquer.
Il nous faut pérenniser le protocole de Kyoto, le seul traité environnemental contraignant expire en 2012 : les pays industrialisés doivent absolument maintenir et renouveler leurs engagements !
Il est également impératif de développer la solidarité Nord/Sud.
Alors que le problème de l'accès à l'énergie se pose pour eux plus que jamais, les pays du Sud, en particulier africains, ne doivent pas être les laissés pour compte de la négociation.
Sur place, le rôle de la Fondation est important : reconnue par l'ONU comme ONG observatrice, l'un de nos experts, Benoît Faraco, sera présent à Durban pour porter nos propositions et interpeller les décideurs, français et européens à s'engager à :
• Réduire leurs émissions de gaz à effet de serre de 30%
• Mettre en place de politiques de transition énergétique : isolation des logements, développement des énergies renouvelables et l'éco-mobilité, soutien à une agriculture plus respectueuse de l'environnement, lutte contre la déforestation, protection de la biodiversité, …
• Développer des financements innovants, en taxant les transactions financières internationales et le fret maritime par exemple.
Les enjeux de cette conférence et notre rôle sont donc primordiaux."
Tiré de la Fondation Nicolas Hulot.