Histoire Corse
Posté : mar. 27 juil. 2010 22:30
Et qui disait que les Corses n'avaient pas d'ardeur au travail???
Corse.
Visée par un attentat dans la nuit, la paillote immédiatement reconstruite
Insolite mardi 27 juillet 2010
Un attentat a visé une paillote sur une plage de Porto-Vecchio (Corse-du-Sud) dans la nuit de lundi à mardi, mais les gendarmes n'ont pas eu le temps de relever le moindre indice, le propriétaire l'ayant immédiatement remise sur pied.
L'explosion s'est vraisemblablement produite entre 03H00 et 03H30 sur la plage de Santa Ghjulia, mais les gendarmes n'ont été avisés que vers 09H00. Et lorsqu'ils se sont rendus sur place pour effectuer les premières constatations et procéder aux prélèvements d'usage, ils ont fait chou blanc.
Le propriétaire des lieux a en effet sollicité une entreprise de travaux publics et de terrassement afin de réparer au plus vite les dégâts causés par l'explosion qui a notamment fait tomber le toit. « Tout était démonté et presque déjà reconstruit », a confié un gendarme, surpris par le comportement de la victime. Une enquête de flagrance a néanmoins été ouverte et les investigations ont été confiées à la brigade de gendarmerie de Porto-Vecchio.
Corse.
Visée par un attentat dans la nuit, la paillote immédiatement reconstruite
Insolite mardi 27 juillet 2010
Un attentat a visé une paillote sur une plage de Porto-Vecchio (Corse-du-Sud) dans la nuit de lundi à mardi, mais les gendarmes n'ont pas eu le temps de relever le moindre indice, le propriétaire l'ayant immédiatement remise sur pied.
L'explosion s'est vraisemblablement produite entre 03H00 et 03H30 sur la plage de Santa Ghjulia, mais les gendarmes n'ont été avisés que vers 09H00. Et lorsqu'ils se sont rendus sur place pour effectuer les premières constatations et procéder aux prélèvements d'usage, ils ont fait chou blanc.
Le propriétaire des lieux a en effet sollicité une entreprise de travaux publics et de terrassement afin de réparer au plus vite les dégâts causés par l'explosion qui a notamment fait tomber le toit. « Tout était démonté et presque déjà reconstruit », a confié un gendarme, surpris par le comportement de la victime. Une enquête de flagrance a néanmoins été ouverte et les investigations ont été confiées à la brigade de gendarmerie de Porto-Vecchio.