Le Stade des Alpes l'an prochain ?
Posté : ven. 2 avr. 2010 09:34
Foot - DNCG
Grenoble en National ?
Grenoble en Ligue 2, sportivement, c'est presque fait. Mais le club isérois pourrait carrément se retrouver en National la saison prochaine. Le GF38 passe ce jeudi devant la DNCG, qui s'interroge sur la dernière augmentation de capital du club. En mars dernier, le groupe japonais Index, propriétaire du club à 99,41%, a revendu 40% de ses parts à des fonds privés. Or l'argent de cette cession, soit 4,6 millions d'euros, n'aurait pas encore été libéré, rapporte L'Equipe.
L'actionnaire et les dirigeants du club sont donc convoqués pour s'expliquer devant la DNCG et rassurer le gendarme financier du foot. Mais la situation reste inquiétante : depuis la crise, la santé financière d'Index n'est pas au mieux et celle du GF38 non plus, avec 28 millions de budget, 29 contrats pros et pas de centre de formation de haut niveau. Si le risque de rétrogradation administrative est bien réel, la DNCG devrait toutefois laisser un sursis à Grenoble, jusqu'au 15 mai, pour clarifier la situation. En attendant, les élus isérois opteraient plutôt pour un désengagement d'Index, qui a pourtant investi près de 40 millions d'euros. Un repreneur serait déjà sur les rangs. Affaire à suivre...
Grenoble en National ?
Grenoble en Ligue 2, sportivement, c'est presque fait. Mais le club isérois pourrait carrément se retrouver en National la saison prochaine. Le GF38 passe ce jeudi devant la DNCG, qui s'interroge sur la dernière augmentation de capital du club. En mars dernier, le groupe japonais Index, propriétaire du club à 99,41%, a revendu 40% de ses parts à des fonds privés. Or l'argent de cette cession, soit 4,6 millions d'euros, n'aurait pas encore été libéré, rapporte L'Equipe.
L'actionnaire et les dirigeants du club sont donc convoqués pour s'expliquer devant la DNCG et rassurer le gendarme financier du foot. Mais la situation reste inquiétante : depuis la crise, la santé financière d'Index n'est pas au mieux et celle du GF38 non plus, avec 28 millions de budget, 29 contrats pros et pas de centre de formation de haut niveau. Si le risque de rétrogradation administrative est bien réel, la DNCG devrait toutefois laisser un sursis à Grenoble, jusqu'au 15 mai, pour clarifier la situation. En attendant, les élus isérois opteraient plutôt pour un désengagement d'Index, qui a pourtant investi près de 40 millions d'euros. Un repreneur serait déjà sur les rangs. Affaire à suivre...