Les dragons de Rouen de nouveau champions de France !

[proskill]

Oui, qualification plus que logique

[winnerfou]

Je pense que personne n'en doutait réellement de cette qualification, c'est la suite qui va commencer à devenir plus intéressante

[proskill]

Briançon ou Amiens au prochain tour... Moi un Rouen Amiens me plairait bien

[Blana]

Ce sera Amiens !!

http://rhe76.com/News451?PHPSESSID=d887 ... ae7c8bb3c0

[proskill]

25 euros la place, c'est abusé !

[Blana]

25 euros la place, c'est abusé !

12,50€ en Lenoble ce soir... Ça c'est abusé !

A l'occasion des play-offs, le hockey sur glace français tente de sortir de l'ombre



Les Dragons de Rouen possèdent l'un des plus beaux palmarès du hockey français.

Les Dragons de Rouen possèdent l'un des plus beaux palmarès du hockey français.Christian Robaëys pour RHE76.com

Vendredi, les premiers matches des demi-finales de play-offs de la Ligue Magnus (championnat de France de hockey sur glace) auront lieu avec Angers-Strasbourg et Rouen-Amiens. Ces demi-finales se déroulent jusqu'au 26 mars au meilleur des cinq rencontres.

L'Etoile noire de Strasbourg est l'invitée surprise de ce dernier carré aux allures d'habitués. Une grande première pour le club alsacien, qui était jusque-là toujours resté aux portes des play-offs. Et pourtant, les hommes de Daniel Bourdages reviennent de loin. Onzième au classement général à l'issue de la saison régulière, Strasbourg est passé très près de la correctionnelle et ne doit sa survie qu'à son succès 6-4 contre Gap lors du dernier match de la série (victoire 3-2 au total).

Alors aujourd'hui, pas question de s'arrêter là. "Rouen reste bien sûr le grand favori et Angers possède une très bonne équipe, mais nous voulons aller jusqu'au bout, confirme l'entraîneur. Dans le carré final, on oublie le classement et tout le monde peut battre tout le monde." Si la formation alsacienne veut y croire, la tâche s'annonce quand même compliquée pour elle. En cas de succès face à Angers, l'un des poids lourds du championnat tricolore, l'Etoile noire, devrait se retrouver face aux Dragons de Rouen, champion de France en titre et vainqueur de la Coupe de France, dont la dernière défaite en championnat remonte au 8 janvier.

UN ENGOUEMENT SOUVENT LOCAL

En tête à l'issue de la saison régulière, Rouen n'a plus qu'un objectif : prouver une fois encore sa suprématie sur l'élite française. "Avec Angers, nous sommes actuellement un cran au-dessus des autres, avoue Rodolphe Garnier, l'entraîneur des Dragons. Mais attention, les compteurs sont remis à zéro et les quatre équipes présentent de grandes qualités." Seulement voilà, puisque Rouen est l'unique représentant français en Coupe Continentale (l'équivalent de la Ligue Europa pour le hockey), ces play-offs ne représentent pas vraiment le point culminant de la saison, contrairement aux autres équipes de la Ligue Magnus qui n'ont que l'objectif national en tête. Et cela peut faire toute la différence. "C'est vrai, il n'y a que nous à être sous pression tout au long de la saison, note l'entraîneur. Mais aujourd'hui l'équipe est préparée, aussi bien physiquement que mentalement."

A la tête de l'effectif alsacien depuis vingt et un ans, le Québécois Daniel Bourdages a vécu l'ascension de son équipe de la deuxième division (3e niveau) à la Ligue Magnus, et pose un regard contrasté sur l'évolution de la discipline en France. "Le hockey prend de l'ampleur, c'est incontestable, explique-t-il. Depuis que le club fait partie de l'élite, les choses bougent pas mal à Strasbourg, où nous jouons régulièrement devant des salles combles. La presse locale nous suit aussi. Mais au niveau national, il reste encore beaucoup de travail." Son souhait ? que les grands médias nationaux s'intéressent enfin à sa discipline. "Ils n'ont pas cette volonté de traiter autre chose que le football, c'est dommage. Pourtant, la grande attraction des Jeux olympiques d'hiver, c'est bien la finale du hockey." Un sentiment d'injustice partagé par son homologue de Rouen. "C'est malheureux la place que l'on accorde à notre sport, insiste Rodolphe Garnier. En tant que passionné d'un sport mineur, cela m'étonne toujours. Mais il faut passer outre. Bien sûr, on aimerait plus de reconnaissance mais cela passe forcément par les résultats".

Et pourtant aujourd'hui, un constat s'impose : lorsqu'il existe une réelle volonté politique de développer la pratique, le retour sur investissement est systématique. La preuve à Rouen, Amiens ou même Grenoble où l'engouement autour de la discipline est réel. "Le hockey est un sport spectaculaire qui attire les foules, confirme Gérald Guennelon, le directeur technique national. Sur les quatorze clubs qui composent la Ligue Magnus, le taux de remplissage des salles avoisine les 90 %. Nous rivalisons avec le volley ou même le hand." Dans la ville du champion de France, par exemple, le hockey est en passe de devenir le sport numéro 1, et l'aura du club dépasse la sphère purement sportive. "Nous disposons d'une patinoire de deux mille places alors que nous pourrions en accueillir le double, souligne Rodolphe Garnier. Mais il ne faut pas se plaindre, car cette enceinte nous permet d'accueillir le public et les partenaire dans les meilleures conditions possibles. Ce qui n'est pas le cas pour tous les clubs."

LA FÉDÉRATION SE STRUCTURE

Et c'est peut-être bien là que se joue l'avenir de ce sport. C'est un fait, le développement du hockey est aujourd'hui dépendant des capacités des enceintes sportives, qui ne peuvent accueillir que de 800 à 3 500 personnes. Très loin derrière les championnats suédois, finlandais ou encore russes, les grands d'Europe. Pour espérer progresser, il faudra donc construire. "Mais tout cela est en train de se mettre en place, nous nous structurons progressivement, note le responsable fédéral. Il faut du temps car nous partons de loin."

Il y a encore quatre ans, la discipline évoluait en effet sous l'égide de la Fédération française des sports de glace. Aujourd'hui, la FFHG compte dans ses rangs quelque 18 600 licenciés. Un chiffre en constante progression. Sans oublier bien sûr son équipe de France, qui, depuis trois saisons, se maintient au sein de la Poule A, l'élite mondiale. "Nous organisons d'ailleurs le 24 avril à Bercy un match France-Canada, en vue des prochains Mondiaux, précise Gérald Guennelon. C'est une vraie chance pour nous de pouvoir accueillir l'une des meilleurs nations du monde." Et un excellent moyen de promotion pour la discipline.
Thomas Héteau

http://www.lemonde.fr/sport/article/201 ... _3242.html

[proskill]

25 euros la place, c'est abusé !

12,50€ en Lenoble ce soir... Ça c'est abusé !

A l'occasion des play-offs, le hockey sur glace français tente de sortir de l'ombre



Les Dragons de Rouen possèdent l'un des plus beaux palmarès du hockey français.

Les Dragons de Rouen possèdent l'un des plus beaux palmarès du hockey français.Christian Robaëys pour RHE76.com

Vendredi, les premiers matches des demi-finales de play-offs de la Ligue Magnus (championnat de France de hockey sur glace) auront lieu avec Angers-Strasbourg et Rouen-Amiens. Ces demi-finales se déroulent jusqu'au 26 mars au meilleur des cinq rencontres.

L'Etoile noire de Strasbourg est l'invitée surprise de ce dernier carré aux allures d'habitués. Une grande première pour le club alsacien, qui était jusque-là toujours resté aux portes des play-offs. Et pourtant, les hommes de Daniel Bourdages reviennent de loin. Onzième au classement général à l'issue de la saison régulière, Strasbourg est passé très près de la correctionnelle et ne doit sa survie qu'à son succès 6-4 contre Gap lors du dernier match de la série (victoire 3-2 au total).

Alors aujourd'hui, pas question de s'arrêter là. "Rouen reste bien sûr le grand favori et Angers possède une très bonne équipe, mais nous voulons aller jusqu'au bout, confirme l'entraîneur. Dans le carré final, on oublie le classement et tout le monde peut battre tout le monde." Si la formation alsacienne veut y croire, la tâche s'annonce quand même compliquée pour elle. En cas de succès face à Angers, l'un des poids lourds du championnat tricolore, l'Etoile noire, devrait se retrouver face aux Dragons de Rouen, champion de France en titre et vainqueur de la Coupe de France, dont la dernière défaite en championnat remonte au 8 janvier.

UN ENGOUEMENT SOUVENT LOCAL

En tête à l'issue de la saison régulière, Rouen n'a plus qu'un objectif : prouver une fois encore sa suprématie sur l'élite française. "Avec Angers, nous sommes actuellement un cran au-dessus des autres, avoue Rodolphe Garnier, l'entraîneur des Dragons. Mais attention, les compteurs sont remis à zéro et les quatre équipes présentent de grandes qualités." Seulement voilà, puisque Rouen est l'unique représentant français en Coupe Continentale (l'équivalent de la Ligue Europa pour le hockey), ces play-offs ne représentent pas vraiment le point culminant de la saison, contrairement aux autres équipes de la Ligue Magnus qui n'ont que l'objectif national en tête. Et cela peut faire toute la différence. "C'est vrai, il n'y a que nous à être sous pression tout au long de la saison, note l'entraîneur. Mais aujourd'hui l'équipe est préparée, aussi bien physiquement que mentalement."

A la tête de l'effectif alsacien depuis vingt et un ans, le Québécois Daniel Bourdages a vécu l'ascension de son équipe de la deuxième division (3e niveau) à la Ligue Magnus, et pose un regard contrasté sur l'évolution de la discipline en France. "Le hockey prend de l'ampleur, c'est incontestable, explique-t-il. Depuis que le club fait partie de l'élite, les choses bougent pas mal à Strasbourg, où nous jouons régulièrement devant des salles combles. La presse locale nous suit aussi. Mais au niveau national, il reste encore beaucoup de travail." Son souhait ? que les grands médias nationaux s'intéressent enfin à sa discipline. "Ils n'ont pas cette volonté de traiter autre chose que le football, c'est dommage. Pourtant, la grande attraction des Jeux olympiques d'hiver, c'est bien la finale du hockey." Un sentiment d'injustice partagé par son homologue de Rouen. "C'est malheureux la place que l'on accorde à notre sport, insiste Rodolphe Garnier. En tant que passionné d'un sport mineur, cela m'étonne toujours. Mais il faut passer outre. Bien sûr, on aimerait plus de reconnaissance mais cela passe forcément par les résultats".

Et pourtant aujourd'hui, un constat s'impose : lorsqu'il existe une réelle volonté politique de développer la pratique, le retour sur investissement est systématique. La preuve à Rouen, Amiens ou même Grenoble où l'engouement autour de la discipline est réel. "Le hockey est un sport spectaculaire qui attire les foules, confirme Gérald Guennelon, le directeur technique national. Sur les quatorze clubs qui composent la Ligue Magnus, le taux de remplissage des salles avoisine les 90 %. Nous rivalisons avec le volley ou même le hand." Dans la ville du champion de France, par exemple, le hockey est en passe de devenir le sport numéro 1, et l'aura du club dépasse la sphère purement sportive. "Nous disposons d'une patinoire de deux mille places alors que nous pourrions en accueillir le double, souligne Rodolphe Garnier. Mais il ne faut pas se plaindre, car cette enceinte nous permet d'accueillir le public et les partenaire dans les meilleures conditions possibles. Ce qui n'est pas le cas pour tous les clubs."

LA FÉDÉRATION SE STRUCTURE

Et c'est peut-être bien là que se joue l'avenir de ce sport. C'est un fait, le développement du hockey est aujourd'hui dépendant des capacités des enceintes sportives, qui ne peuvent accueillir que de 800 à 3 500 personnes. Très loin derrière les championnats suédois, finlandais ou encore russes, les grands d'Europe. Pour espérer progresser, il faudra donc construire. "Mais tout cela est en train de se mettre en place, nous nous structurons progressivement, note le responsable fédéral. Il faut du temps car nous partons de loin."

Il y a encore quatre ans, la discipline évoluait en effet sous l'égide de la Fédération française des sports de glace. Aujourd'hui, la FFHG compte dans ses rangs quelque 18 600 licenciés. Un chiffre en constante progression. Sans oublier bien sûr son équipe de France, qui, depuis trois saisons, se maintient au sein de la Poule A, l'élite mondiale. "Nous organisons d'ailleurs le 24 avril à Bercy un match France-Canada, en vue des prochains Mondiaux, précise Gérald Guennelon. C'est une vraie chance pour nous de pouvoir accueillir l'une des meilleurs nations du monde." Et un excellent moyen de promotion pour la discipline.
Thomas Héteau

http://www.lemonde.fr/sport/article/201 ... _3242.html

Les deux c'est abusé, 25 euros c'est ce que un ami a payé pour le match 5 de la finale de la LM 2010

[Blana]

1/2 Finale Match 1 : Rouen - Amiens : 3-1 !!!!!

[Blana]

1/2 Finale Match 2 : Rouen - Amiens : 2-1 !!!!!

[fantomas]

ça baisse .....

[winnerfou]

Et encore, il a fallu une erreur du gardien sur le 2ème but apparemment, j'écoutais leur live en fin de match ... Sinon c'était direction les prolongations !

[Blana]

Rouen est en Finale.
Victoire à Amiens 9à8 après les pénaltys !!

3 matchs, 3 victoires.

[fantomas]

et strasbourg qui rebat angers ! ( 2 victoires a une )

[Blana]

et strasbourg qui rebat angers ! ( 2 victoires a une )

Que ce soit Strasbourg ou Angers, ils auront des matchs en plus dans les jambes.
Le titre n'est pas loin, Allez !

[Blana]

Le titre se jouera face à Strasbourg !

[winnerfou]

Eh beh ... Superbe performance pour eux, que très peu de gens attendaient à ce niveau ! Chapeau à eux déjà, ils n'ont plus rien à perdre, ils joueront sans pression !

[Laupac]

Et dire que Strasbourg n'a gagné sa place aux play off qu'au terme d'un grand concours de circonstances a la fin de la phase régulière !!!

[olive504]

au moins ils sont bon dans un sport vu que leur equipe de foot risque de deposer le bilan

[JPO 76]

au moins ils sont bon dans un sport vu que leur equipe de foot risque de deposer le bilan

au basket aussi y'a peu non ?

[Cavenaghi]

Strasbourg face à l'Everest
Strasbourg, véritable révélation depuis le début des play-offs, sera le challenger inattendu de Rouen, champion de France en titre, en finale de la Ligue Magnus à partir de mardi.

Les Rouennais devront se méfier des Alsaciens.(EQ)

Strasbourg, véritable révélation depuis le début des play-offs, sera le challenger inattendu de Rouen, champion de France en titre, en finale de la Ligue Magnus à partir de mardi. Contre tous les pronostics, les Alsaciens, onzièmes seulement de la saison régulière, sont parvenus à éliminer trois sérieux clients, Epinal (6e), Gap (3e) et Angers (2e). «On est très fiers de cette qualification, savoure l'entraîneur Daniel Bourdages, au club depuis plus de 20 ans. On disposait du même budget que la saison passée et on espérait aller en demi-finales, on aura même réussi mieux.»

«On ne peut surtout pas se permettre d'à-coups financiers, parce que si une année on a un déficit, on met deux ans à le combler, ajoute en écho le président Jean-Paul Hohnadel. Cette qualification est une heureuse surprise», reprend-il en précisant que le club dispose d'un budget raisonnable à l'échelle de la Ligue Magnus d'environ 850.000 euros. En face, les Rouennais, champions, premiers à l'issue de la saison régulière et vainqueurs de la Coupe de France, font figure d'ogres. Ils n'ont pas perdu un seul match en play-offs et ont surtout battu Strasbourg lors de leurs trois confrontations cette saison (3-2 a.p. et 4-1 en championnat, 3-2 en demi-finale de la Coupe de France). - Rédaction avec AFP



Le programme de la finale (au meilleur des cinq matches):
Mardi 29 mars: Rouen-Strasbourg
Mercredi 30 mars: Rouen-Strasbourg
Vendredi 1er avril: Strasbourg-Rouen
Samedi 2 avril: Strasbourg-Rouen (si nécessaire)
Mardi 5 avril: Rouen-Strasbourg (si nécessaire)